Réponse : Réponse 1

Louis Mallet avait choisi Faust.

Pour plus d'informations, voir Le Dr Louis Mallet

Réponse : VRAI

D’octobre 1943 à mars 1944, sept poèmes d’amour en guerre de Paul Éluard sortent des presses de l’imprimerie de la Frauze sous le pseudonyme de Jean du haut.

Pour plus d'informations, voir René Amarger

Réponse : VRAI

La plus jeune des victimes de Soubizergues est Pierre Mallet. Il n’avait que 16 ans et était le fils cadet du Docteur Louis Mallet. 

Pour plus d'informations, voir Soubizergues

Réponse : FAUX

À partir de l’instauration du STO, le Cantal est devenu un refuge pour de nombreux réfractaires, cantaliens ou non. Les familles auvergnates ont offert le gîte à ces jeunes hommes, qui participaient en retour aux travaux de la ferme. Malgré tout, certaines d’entre elles étaient hostiles, à cause du risque de représailles de la part de l’ennemi.

Pour plus d'informations, voir Lorcières, Maquis-refuges

Réponse : VRAI

Moins connu que le maquis du Vercors, le maquis du Mont-Mouchet n’en est pas moins important. En effet, il est l’un des plus grands maquis de France, en raison du nombre de maquisards qui y ont convergé.

Pour plus d'informations, voir La genèse des réduits

Réponse : FAUX

Les troupes parties à l’assaut du Mont-Mouchet et du réduit de la Truyère ne sont pas seulement composées de soldats allemands. Elles sont renforcées par la présence de légions venue de l’est, capturées sur le front russe.

Pour plus d'informations, voir Les forces allemandes face aux réduits

Réponse : VRAI

Emile Coulaudon, chef FFI de la région R6 (Auvergne) lance la mobilisation générale le 20 mai 1944, soit deux semaines avant le Débarquement de Normandie et la mobilisation générale pour le maquis du Vercors (5 juin).

Pour plus d'informations, voir Émile Coulaudon

Réponse : De quoi se chausser et se vêtir

L’ordre de mobilisation générale du 20 mai précise que « chaque homme doit emporter […] : sa meilleure paire de souliers et sabots ; chaussettes et linge de corps ; ses armes […] et si possible une tente ou bâche par 10 hommes ».

Pour plus d'informations, voir Émile Coulaudon

Réponse : FAUX

Malgré l’imminence des combats, la plupart des hommes rejoignant le maquis suite à l’appel du 20 mai, sont jeunes et n’ont aucune expérience militaire. Dès leur arrivée, des exercices sont mis en place pour former les nouvelles recrues à la discipline militaire et aux rudiments du combat.

Pour plus d'informations, voir Fridefont, au cœur de la résistance

Réponse : Une résistance auvergnate

Anne-Marie Menut, dite Marinette, est une figure de la Résistance auvergnate. Elle s’engage très tôt dans la Résistance et fonde avec son époux, l’infirmerie du maquis.

Pour plus d'informations, voir Anne-Marie Menut

Réponse : Le massacre d'Oradour-sur-Glane

L’attaque du Mont-Mouchet a eu lieu le 10 juin 1944, soit le même jour que le massacre d’Oradour-sur-Glane. Ces deux évènements sont le symbole de la répression des « bandes terroristes » et de leur soutien.

Réponse : VRAI

Après la fin de la guerre, Clavières a reçu la croix de guerre avec étoile d’argent, soulignant son statut de « village martyr », en raison de sa destruction suite aux combats entre Wehrmacht et maquisards stationnant sur place.

Pour plus d'informations, voir Clavières : un village martyr

Réponse : Il transporte les maquisards dans ses camions jusqu'au Mont-Mouchet

Le Groupe Revanche a joué un rôle important dans la formation du maquis du Mont-Mouchet puisqu’il a permis aux nouveaux maquisards de rejoindre le point de rendez-vous en les transportant dans ses camions. C’est l’élément structurant du réduit de la Truyère.

Pour plus d'informations, voir Le groupe Revanche

Réponse : Il rejoint le réduit de la Truyère

Après le 11 juin, le P.C du Mont-Mouchet rejoint le réduit de la Truyère et s’installe dans le village de Saint-Martial, d’où il mène les combats pour la journée du 20 juin. Ainsi, sont regroupés pas moins de 3000 hommes. Le village sera par la suite incendié par les troupes d’occupation.

Pour plus d'informations, voir Saint-Martial : au cœur des combats

Réponse : La 7ème Compagnie

Ne pas confondre la 7ème Compagnie dirigée par Paul Coupat et celle popularisée par les films de Robert Lamoureux. La première a fait ses preuves au sein de la Résistance auvergnate, et a perdu beaucoup d’hommes.

Pour plus d'informations, voir La 7ème compagnie

Réponse : Les troupes d’occupation décident de fusiller et déporter des résistants et des villageois

En réponse à la mort de Geissler chef du Sipo-SD, le 12 juin 1944, les troupes d’occupation exécutent 25 otages détenus à Saint-Flour, puis déportent 109 muratais le 24 juin

Pour plus d'informations, voir Murat, 12 et 24 juin 1944

Réponse : VRAI

Jusqu’au printemps 1944, les forces allemandes ne dépassent pas 200 hommes dans le Cantal. Afin de « pacifier » la Margeride, et à la suite du débarquement de Normandie, l’état-major décide le prélèvement de près de 2500 soldats lourdement armés.

Pour plus d'informations, voir Les forces allemandes face aux réduits

Réponse : FAUX

Malgré l’afflux important d’hommes à la suite de l’ordre de mobilisation générale du 20 mai 1944, le réduit du Mont Mouchet n’a pas accueilli plus de 2700 volontaires.

Pour plus d'informations, voir Le Mont-Mouchet, un lieu de mémoire

Réponse : FAUX

Le Special Operations Executive organise des parachutages d’armes légères, de munitions, d’équipement et de financement. Le rôle de ses agents en mission est d’aider les maquisards en liaison avec Londres.

Pour plus d'informations, voir Les missions alliées en Auvergne

Réponse : VRAI

26 personnes au total ont été abattues dont 16 hommes dans le « chemin des fusillés. »

Pour plus d'informations, voir Premières victimes de l’attaque sur la route du Mont-Mouchet